Dans cette vie maintenant rien est gratuit, et tous les moyens ont bons pour arriver à ces fins.
Ces 24 étudiants brésiliens sont allés loin oui trop loin même. Pour incarner l’Université Fédérale de Pelotas, ils ont sorti la lourde artillerie, raison pour laquelle ils ont été tout bonnement renvoyés d’un cursus de médecine.
Profitant de la politique discrimination positive en vigueur au Brésil, ils ont prétendu être noirs.
Depuis 05 ans au Brésil on a mis en place une politique de discrimination positive permettant aux étudiants noirs, amérindiens ou de milieux modestes de constituer 50% des étudiants, une partie de la population qui était jusqu’à présent blanche et aisée.
Pour bénéficier des avantages de cette loi, beaucoup d’étudiants semblent avoir reconsidéré leur appartenance ethnique, prétendant être noirs.
Comme ces 24 étudiants de l’Université de Pelotas dans l’Etat de Rio Grande do Sul au sud du Brésil qui ont été chassés, du cursus de médecine où ils s’étaient inscrits.
Se prétendant ‘noirs’, leur situation a été signalée aux autorités de l’université par le Setorial de Negros Negras da Universidade Federal de Pelotas (Secteur des hommes et femmes noires de l’Université Fédérale de Pelotas).
La secrétaire de la structure nous renseigne : « la commission a jugé la situation, se basant notamment sur le phénotype des personnes incriminées.
La question de ces quotas est controversée au Brésil, car si de nombreuses personnes au phénotype africain peu marqué ses sont considérées historiquement comme noirs, d’autres sont accusés d’avoir longtemps caché leurs origines africaines en raison du privilège blanc prévalent dans la société et de n’avoir commencé à le revendiquer qu’au début des politiques de discrimination positive de l’état brésilien.»
Source : nofi
