« J’avais alerté en disant qu’il était en séquestration. Ramener le nombre des visites à 10 et trier sur le volet ceux qui doivent le voir, c’est une atteinte à ses droits. C’est pourquoi nous comprenons sa position de refuser de recevoir des visites dans ces conditions-là», déclare pour sa part, Moussa Taye, conseiller du maire de Dakar.
« Il ne peut même pas recevoir ses collaborateurs les plus proches, alors qu’il est le maire de Dakar. Il a le droit de recevoir ses collaborateurs, notamment ses adjoints. On lui interdit manifestement de les recevoir. Et cela, à la longue, peut paralyser le fonctionnement de la ville de Dakar« , prévient Me Ndiaye. Les avocats de Khalifa Sall comptent user de toutes les voies pour casser les mesures restrictives prises par l’administration.
(Source : Vox Populi)