Le camp pénal de Liberté VI était à la fête hier. Au programme de la célébration de la Journée internationale de la femme, un concert de la diva Coumba Gawlo. Au son de l’artiste, Sidiki Kaba, ministre de la Justice et le colonel Daouda Diop, Directeur de l’administration pénitentiaire, ont esquissé quelques pas de danse. Détenues et gardes pénitentiaires ont communié sur la piste de danse, rapporte Le Quotidien. Le temps d’une journée, ces femmes ont oublié qu’elles étaient dans les liens de la détention. Ce qui est de bon augure, juge Coumba Gawlo, qui souligne que « les maisons d’arrêt ont vocation de préparer la réinsertion ».