Le jour où Paris Hilton a cru mourir, ou presque

Un avion a simulé un crash au-dessus de Dubaï. À son bord, Paris Hilton, affolée, croit sa mort venue. Une simple caméra cachée…

Un avion a simulé un crash au-dessus de Dubaï. À son bord, Paris Hilton, affolée, croit sa mort venue. Une simple caméra cachée...

Il fallait oser, un barjo l’a fait : faire croire à une célébrité qu’elle allait mourir en avion et la filmer dans les affres de ses derniers instants par une caméra embarquée. Forcément voyeur et tellement impudique, surtout trois mois après le crash de la Germanwings, encore dans toutes les mémoires, qui a coûté la vie à 150 personnes au cœur des Alpes françaises. En choisissant une vedette de la télé-réalité américaine comme victime de ce mauvais gag, la télévision tente de se dédouaner en forçant le trait pour faire rire sur une peur partagée par bon nombre de voyageurs. À moins que la victime ne soit pas si innocente… À vous de juger. 

  

 

 

Sur la vidéo disponible sur YouTube, on voit ainsi Paris Hilton gentiment conviée à voler dans le ciel de Dubaï pour admirer les gratte-ciel de la ville champignon à bord d’un avion de tourisme. L’héritière de la riche famille américaine et vedette d’émissions populaires, en tenue chic et glamour, semble ne pas se douter qu’elle est l’héroïne d’un mauvais scénario enregistré pour un show de la télévision égyptienne.

« Je ne veux pas mourir »

Après quelques instants, les moteurs commencent à lâcher, l’avion secoue, une alarme retentit, les passagers s’agitent, Paris Hilton semble perplexe, répétant dans la cabine « Mais qu’est-ce qui se passe ? Est-ce normal ? Qu’est-ce qu’on peut faire ? » Pendant que le pilote simule la panne, pique du nez et fait un brin de voltige, la panique gagne cette fois complètement les passagers. Certains sautent même en parachute ! Ce qui a pour effet non de faire découvrir le pot aux roses, mais de décupler l’angoisse de la jet-setteuse, qui hurle « Oh my God ! Je ne veux pas mourir ! » croyant sa dernière heure arrivée, pendant qu’on la maintient de force sur son siège.
Source: Le Point

 

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