La situation est alarmante, et nécessite l’intervention des pouvoirs publics et des parents. Selon la Rfm, «36% des filles Sénégalaises pratiquent le planning familial dont 12% sont des collégiennes et lycéennes».
Ainsi, à en croire Antoine Mendy, chargé des Ist à l’Asbef, «cela ouvre la porte à la prostitution déguisée qui prend des proportions inquiétantes sur toute l’étendue du territoire national».