«Le «Nguimb» (pagne) était l’art du lutteur. Certains lutteurs le nouent mal. La manière dont Falaye Baldé ou Doudou Baka Sarr nouaient leur «nguimb» n’était pas la même que d’autres d’une même contrée. Cette saison, on va être sévère là-dessus. On veut des «nguimbs» qui couvrent toute la partie intime de l’athlète. On ne veut plus de string dans l’arène», cogne Alioune Sarr dont le mandat a été prolongé de deux (2) à la tête du Comité National de Gestion (CNG) de lutte.
Le renouvellement du mandat du CNG a été renouvelé hier jeudi par le ministre des Sports, Matar BA dans le cadre d’une cérémonie d’installation.
Reconduit jusqu’en 2018, Alioune Sarr assène: «Le règlement intérieur est très clair : on est lutteur entre 18 et 45 ans. Et pour être lutteur, il faut être en possession d’une licence en cours de validité. Donc, je pense que c’’est clair. Celui qui n’a pas 18 ans n’est pas lutteur. Celui qui a plus de 45 ans n’est pas lutteur».
Avec SunuLamb