Papiss Cissé anime la rubrique fait divers. Alors que l’attaquant de Newcastle qui a épousé une Volleyeuse française, a été accusé par son épouse Adja Siny Thiaw. ce dernier vide son sac dans l’Observateur et fait des révélations fracassantes sur leur mariage. Adja Siny Thiaw se confie dans le quotidien L’Observateur pour parler de son «premier amour», père de son enfant. «C’est mon époux. J’ai connu Papiss Demba Cissé en 2001 à Thiès. C’est le grand frère de mon père, Ousseynou Thiaw qui l’avait amené dans sa maison, au quartier Cité Senghor. Papiss avait quitté la Casamance pour venir jouer les Navétanes à Thiès. Tandis que moi, j’étais en vacances là-bas, chez mon homonyme», se rappelle l’épouse délaissée, qui déclare être toujours dans les liens du mariage avec l’international sénégalais. «Nous avions des rapports intimes. Sans cela, je n’aurais pas été enceinte de lui. Nous sortions ensemble et nous nous aimions. Puisque j’étais assez jeune, je ne savais pas que j’avais contracté une grossesse et je continuais à aller à l’école. Je n’ai jamais fait des visites prénatales. Le 12 mai 2002, j’ai accouché d’un garçon…». «C’est seulement lorsque notre fils a eu 3 ans que Papiss est venu le voir à Thiès» «J’ai mis au monde notre fils dans des conditions très difficiles. C’est ma mère qui a réglé tous les frais d’hôpital. Mon homonyme a appelé Papiss Demba Cissé qui était à Rufisque pour lui faire part de la naissance de notre enfant. Naturellement, il a reconnu la paternité de l’enfant. Toutefois, il n’est pas venu nous voir et n’a pas levé le petit doigt pour le baptiser. Dans un sens, j’ai compris, car il n’avait pas un sou en poche. Il jouait encore dans les Navétanes à Rufisque. C’est seulement lorsque notre fils a eu 3 ans qu’il est venu le voir à Thiès», narre, amère, Adja Siny Thiaw devenue l’épouse du football en 2013, selon son propre récit. «C’est en 2013 que nous avons finalement concrétisé notre union, à la mosquée de la Cité Pilot, à Thiès. Papis Demba Cissé, marié sous le régime de la monogamie en 2013. Par la suite, il m’a amenée vivre à Dakar, précisément à Grand-Yoff. Il m’a trouvé plus tard un appartement au quartier Nord-Foire. Malheureusement, lorsqu’il est venu en vacances en 2014, il a changé de comportement. Il sortait la nuit (…) Je n’ai jamais essayé de savoir ce qu’il faisait dehors. J’ai fermé les yeux sur tout, histoire de préserver mon ménage (…) Il s’est levé un beau jour et a quitté le domicile conjugal, sans piper mot. J’ai essayé de comprendre ce qui lui passait par la tête, mais il n’a rien voulu me dire. Il s’est juste contenté de me dire que c’était fini entre nous (…) Il est parti s’installer à Ouakam et on a coupé les ponts». «Il m’a trahie. Quand j’ai vu sa sortie dans la presse, j’ai été choquée parce qu’il s’exprime comme s’il venait juste de se marier. Il ne peut pas mettre comme ça un trait sur notre mariage. Je suis toujours son épouse légitime car nous n’avons pas divorcé. Aucun tribunal n’a prononcé notre séparation», conclut celle qui dit souffrir du manque de son premier amour dont elle souhaite le retour. Malgré tout, «je devrais le poursuivre pour bigamie et l’obliger à s’acquitter de ses devoirs d’époux». «Je lui ai offert ma virginité. Il est le seul homme dans ma vie». Parole de Adja Siny Thiaw.
