Dans les pages de « L’Observateur », le lutteur, Zoss, a donné son avis sur le rituel de l’immolation du bélier le jour de la Tabaski
« Je ne peux pas le faire parce que je trouve cette pratique assez bizarre. Je n’ai même pas ce courage. Je préfère qu’on le fasse à ma place. Pendant la fête de Tabaski, je loue les services d’une personne pour égorger mon mouton. Je ne sais si c’est le sang qui me fait peur ou autre chose. Une fois, dans le passé, j’ai essayé, mais on ne m’y prendra plus. Ce fut une très pénible expérience. Je vous assure que je n’ai pas pu terminer mon œuvre, tellement ça me paraissait curieux et insensé. J’ai abandonné le bélier sur place parce qu’il m’était impossible de continuer. J’étais comme traumatisé pour dire la vérité. Je n’aime pas tuer un animal. Il y a des gens qui sont faits pour ça », explique le lutteur de l’écurie « Door Doorat »
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