Chers amis, on vous l’avait dit, cette saison 3 risque d’être monotone. Loin de nous l’idée de vouloir jouer les trouble- fêtes, mais nous estimons tout simplement qu’il va falloir varier si le réalisateur veut que sa série connaisse le même succès que les saisons précédentes au cours desquelles les amateurs de théâtre cessaient toutes leurs activités pour se ruer devant le petit écran.
Nous nous refusons de faire une comparaison avec une quelconque autre série mais nous remarquons que c’est toujours Daro qui joue toujours dans son registre : trouble-fête, calculeuse, manipulatrice et qui au cours de cet épisode réussit même à énerver la vielle dame qui vit avec elle et Mounass. Ici, elle a l’honnêteté d’avouer qu’elle a faim. Et là, elle commence à mettre en place des stratégies pour trouver de l’argent. En effet, puisque Aladji rafét n’est pas sur place, elle demande à la dame d’appeler son amant Gambien (nous espérons que vous souvenez de lui). Mais un clin d’œil à nos amis Gambiens, la vieille dame lui fait savoir que lorsqu’un Gambien jette l’éponge c’est pour toujours. Sacrée dame ! Les Gambiens apprécieront.
Fodé, quant à lui, disserte sur la méchanceté des hommes. Le problème de Fodé c’est qu’il est fou amoureux de Mounass et il est prêt à aller jusqu’en Italie juste pour la voir. L’obstacle à franchir s’appelle Aladji Rafét qui lui aurait acheté une maison.
Enfin, la dernière séquence fait la critique de l’utilisation des cauris surtout par les femmes qui il faut l’avouer, pour scruter l’avenir et/ou trouver des solutions à leurs problèmes n’hésitent à aller voir les diseuses de bonne aventure. Cependant, l’omniprésente Daro trouve que c’est un faux problème et que leur utilisation fait partie des réalités sénégalaises.
Pas de suspens pour la fin de cet épisode.
Qu’en pensez-vous ? A vos claviers et au prochain épisode.
