Connu pour être le virus le plus dévastateur de tous les temps, le VIH aujourd’hui se voit dépasser en termes de danger et de dommages collatéraux sur…
Connu pour être le virus le plus dévastateur de tous les temps, le VIH aujourd’hui se voit dépasser en termes de danger et de dommages collatéraux sur la santé par un autre virus de la même famille identifié comme la cause de la plus grande épidémie mondiale.
Ce virus porte le nom du papillome humain, le VPH, encore plus dévastateur et plus mortel que le sida. Etant une infection sexuellement transmissible, le VPH, le virus du papillome humain provoque des irritations affreuses sur la peau, notamment sur les membranes humides du corps humain comme l’anus, l’utérus, la bouche, la gorge et le col. Si le VIH est, selon vous, le virus le plus dangereux de toutes les infections sexuellement transmises, le VPH est encore pire que celui-ci et c’est ce que cet article vous expliquera minutieusement : Pour commencer, il faut noter que le VPH est une infection qui se transmet sexuellement, à travers, entre autres, le contact génital entre les peaux. Le plus affolant est que des recherches admettent que les préservatifs ne sont pas un moyen de protection total puisque les femmes qui en sont contaminées le transmettent plus facilement que le VIH.
Une personne peut être atteinte du VPH juste après le début d’une activité sexuelle et le porteur de ce virus ne présentera aucun symptôme de cette infection des années et des années. Semblable au VIH, le VPH est une arme de destruction silencieuse encore plus dangereuse que le virus du SIDA de par la force de son attaque et le danger d’une mort atroce. Selon des recherches très récentes en laboratoire, la protection prônée par les préservatifs n’est jamais optimale et totale car le VPH peut vous infecter même si vous protégez vos organes génitaux, aussi bien pour les hommes que pour les femmes.
En somme, les pires conséquences du VPH peuvent se traduire par un cancer du col, particulièrement chez les femmes qui sont les principales victimes potentielles d’une si grave infection sexuellement transmissible. Concrètement, ce sont les types 16 et 18 du VPH qui sont principalement les causes d’un cancer du col utérin chez les femmes. Faites attention aux infections sexuellement transmissibles et surtout au VPH, la nouvelle arme silencieuse de destruction humaine.
Ce virus porte le nom du papillome humain, le VPH, encore plus dévastateur et plus mortel que le sida. Etant une infection sexuellement transmissible, le VPH, le virus du papillome humain provoque des irritations affreuses sur la peau, notamment sur les membranes humides du corps humain comme l’anus, l’utérus, la bouche, la gorge et le col. Si le VIH est, selon vous, le virus le plus dangereux de toutes les infections sexuellement transmises, le VPH est encore pire que celui-ci et c’est ce que cet article vous expliquera minutieusement : Pour commencer, il faut noter que le VPH est une infection qui se transmet sexuellement, à travers, entre autres, le contact génital entre les peaux. Le plus affolant est que des recherches admettent que les préservatifs ne sont pas un moyen de protection total puisque les femmes qui en sont contaminées le transmettent plus facilement que le VIH.
Une personne peut être atteinte du VPH juste après le début d’une activité sexuelle et le porteur de ce virus ne présentera aucun symptôme de cette infection des années et des années. Semblable au VIH, le VPH est une arme de destruction silencieuse encore plus dangereuse que le virus du SIDA de par la force de son attaque et le danger d’une mort atroce. Selon des recherches très récentes en laboratoire, la protection prônée par les préservatifs n’est jamais optimale et totale car le VPH peut vous infecter même si vous protégez vos organes génitaux, aussi bien pour les hommes que pour les femmes.
En somme, les pires conséquences du VPH peuvent se traduire par un cancer du col, particulièrement chez les femmes qui sont les principales victimes potentielles d’une si grave infection sexuellement transmissible. Concrètement, ce sont les types 16 et 18 du VPH qui sont principalement les causes d’un cancer du col utérin chez les femmes. Faites attention aux infections sexuellement transmissibles et surtout au VPH, la nouvelle arme silencieuse de destruction humaine.