Il a même eu droit au pseudonyme de « Michael Jackson du Sénégal », grâce à la petite mèche de cheveu sur son front, qu’il garde toujours du reste, et les pas de danse savamment exécutés sur scène. Auteur de « Thiabi bi »,« Lingay Diay », entre autres célèbres chansons, Alioune Kassé incarnait alors plus que tous l’espoir d’une relève à la génération des Youssou Ndour que le fils de l’icône de la musique sénégalaise, Ibra Kassé, n’avait d’ailleurs pas manqué de bousculer.
Depuis, il a tenté un retour au premier plan, avec d’autres titres, sans succès.