Le mariage scellé dans la plus grande discrétion entre deux conjoints, en présence d’une poignée de témoins, “takku suuf”, n’est pas valide, soutenait Iran Ndao dans une émission télévisée sur la Tfm.
Le prêcheur ajoutait que ce type de mariage n’est pas valide car “l’homme et la femme, en complicité avec les témoins, se mettent d’accord pour garder le secret”.
Or, en islam, “tout mariage doit faire l’objet de publicité”. Mais Ahmed Khalifa Niasse trouve que Iran Ndao a mal interprété les textes. “Je ne suis pas d’accord sur ce qu’il a dit sur le “takku suuf”.
Réagissant sur la Tfm, il explique que le mariage secret est autorisé dans certains cas. Il donne l’exemple d’une femme, mère d’un commissaire, qui veut épouser un voleur. “Dans ce cas, faut-il publier cette union ou la garder secrète ?”, s’interroge-t-il.
