Le désespoir de certaines personnes en cherchant le pouvoir politique, la célébrité et l’argent à tout prix devient effrayant et inquiétant.
Nous venons de tomber sur cette info sur les médias sociaux, précisément la page facebook de M. Henri Obiazi (sa page facebook) où il a allégué que cette femme identifiée comme honorable, Munirat Adedoyin, une ancienne vice-présidente de Ikorodu gouvernement local à Lagos au Nigéria, qui nourrit l’espoir de devenir un jour président du même gouvernement aurait été surprise récemment en train de s’adonner à un rituel, un sacrifice humain pour être plus explicite sur la personne d’un gamin qui sans doute ne serait pas le fruit de ses entrailles.
Selon la publication par M. Henry Obiazi, “Mrs. Munirat Adedoyin est sur le point de contester la position du président du gouvernement local. Elle a été prise en flagrant délit par certains “samaritains” et informateurs et les photos ont été transmises aux agences de sécurité “.
Obiazi a commenté sur le poste; “Les efforts déployés jusqu’à présent pour appréhender cette méchante femme sont rendus impossible par un juge de la Haute Cour à Ikorodu, qui a rendu une ordonnance ex parte empêchant la police d’arrêter la femme en attendant la détermination de la motion sur préavis à l’application de ses droits fondamentaux.”
“La femme a abandonné sa maison et seul son avocat sait où elle se troue. … “
“Elle n’a pas été inculpé. Dans le processus d’essayer de l’arrêter, elle a déposé une demande pour l’application de ses droits fondamentaux “.
“Cependant, la police a déposé sa réponse et annexé certaines pièces, y compris les photographies. La demande a été déposée l’an dernier enOctobre, et en Mars de cette année, il a fallu la motion ex parte et disposer de tous les reliefs priés. L’ordre d’ex parte expire après 14 jours selon la Haute Courenrègles de procédure civile “.
“Des efforts sont en cours pour arrêter cette femme méchante et perverse. Elle essaie de son poignard dissimulé sous la corde du juriste de bénéficier de ses torts. ” a encore commenté M. Obiazi