A la station balenéaire de Saly (Mbour ),les prostituées dictent leur loi. Qu’importe l’âge de la personne si elles peuvent recevoir un homme dans leur lit. Une situation denoncée par le quotidien l’Enquête sur la vie nocturne et tonituriante de Saly
Les prostituées de Saly peuvent etre scindées en 2 catégories. Celles qui ont “la classe” et qui sont tout le temps dans les boites de nuit et sont tout le temps perchées à la main des vieux toubabs, et celles qui trainent dans les rues et qui pour 1000 fr ou un sandwish pour le diner vont coucher. Selon l’Enquête, cette dérniere catégorie loue à 3 ou 4, une chambre dans une auberge pas trés loin de leur lieu de rencontre et cotisent pour la payer. Ensuite elles y excercent à leur guise leur “metier”. Généralement taxées de filles vulgaires et sans un savoir vivre palpable, ces filles des trotoirs passent leur temps a s’insulter et à se jetter des piérres.
Les prostituées de “luxe ou de classe supérieure” elles n’y vont pas de main morte et s’indignent souvent de l’attitude des filles “de bas étages”. Selon ces prostituées de luxe, ces filles sont des tétes brulées qui ne respectent rien. Les hommes de loi qui sont en garde de la sécurité public font des tournées de routine dans ce secteur toutes les nuits. Comble du malheur, ce lieu se vide dés la venue des limiers, et les gendarmes trouvent souvent un terrain vague