Dakar, capitale de la pollution de l’air

Il devient dangereux de respirer à Dakar. Selon un rapport de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le taux de microgrammes dans l’air de la capitale est de 141 m3. Ce qui représente un niveau 7 fois supérieur à la limite fixée par l’OMS. Du coup il ne serait pas exagéré de dire que malgré sa position de presqu’île, Dakar ne permet plus de respirer à pleins poumons.
Que ses habitants sont en danger. L’OMS souligne dans son rapport que « la pollution atmosphérique est une cause de morbidité et de mortalité ». Qu’elle augmente le risque d’accident vasculaire cérébral, de cardiopathie, de cancer des poumons, d’asthme. Des maladies très connues dans les structures sanitaires dakaroises.

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