Barthélemy Dias, maire de Dakar, conteste fermement les tentatives visant à le démettre de son poste en invoquant des arguments juridiques. Il rappelle qu’il a été condamné pour un délit et non un crime, comme le stipule l’article 135 du Code général des collectivités locales, qui ne prévoit la révocation d’un maire que pour une condamnation pour crime.
En réponse aux accusations d’inéligibilité, il dénonce une justice à deux vitesses et des interprétations politisées des textes juridiques.
Le maire de Dakar prévoit un recours juridique pour mettre en lumière les contradictions dans l’application des lois par les autorités.
In fine, Barthélemy Dias insiste sur le respect des principes républicains et accuse le Gouvernement d’acharnement politique.