Le maire de Dakar avait été cité par l’ancien président de le Fédération internationale d’athlétisme, Lamine Diack, parmi ceux auxquels il avait gratifiés de l’argent sale pour couvrir le dopage d’athlètes russes. Dans la nouvelle affaire appelée Panama Papers, le nom d’un célèbre notaire du pays et celui de Khalifa Sall sont donnés. Selon des documents que nous avons parcourus, Khalifa Sall avait ouvert un compte offshore juste après la chute du régime de son ancien mentor Diouf, qu’il a alimenté à la veille de son élection à la mairie de Dakar en 2009, puis au cours de son mandat. C’est probablement avec une bonne partie des 300 milliards de nos francs, que le ministre conseiller, Youssou Ndour la star planétaire, lui exige de justifier. Les enquêteurs devaient s’intéresser en conséquence à lui, surtout qu’il s’agit de l’argent du contribuable sénégalais.
Il faut rappeler que le même Khalifa Sall s’était abrité sous un prête-nom dans l’autre scandale dit « Swissleaks », où 108 milliards de nos francs ont été planqués par des Sénégalais bien connus. Mais comme Khalifa se cache comme une Autriche, il a été facile de remontrer vers lui ; même si cette affaire semble avoir été rangée aux oubliettes. On ne sait pas pourquoi la presse locale fait semblant de pas connaître la connexion entre Khalifa Sall et son Libanais.
Il faut rappeler que le même Khalifa Sall s’était abrité sous un prête-nom dans l’autre scandale dit « Swissleaks », où 108 milliards de nos francs ont été planqués par des Sénégalais bien connus. Mais comme Khalifa se cache comme une Autriche, il a été facile de remontrer vers lui ; même si cette affaire semble avoir été rangée aux oubliettes. On ne sait pas pourquoi la presse locale fait semblant de pas connaître la connexion entre Khalifa Sall et son Libanais.
