Ibou Fall, qui dit ne pas porter de jugement sur le travail de ses confrères dans l’affaire Pape Alé Niang, arrêté dimanche dernier, par la police, bat en brèche cette solidarité de corps et autres délits de presse galvaudés.
Le journaliste satirique, qui « assume ses propos et ses écrits » considère d’abus de langage les délits de presse. Pour lui, les délits de presse n’existent pas.
« Soit tu fais du journalisme, soit tu commets un délit, et un délit de presse, ça n’existe pas. Le code de déontologie journaliste est bien respecté, on n’a pas de problème avec la justice », balance -t-il à qui veut le gober.
Ainsi, le chroniqueur, « loin de l’indignation sélective », écarte toute action de solidarité envers qui que ce soit. Pour Ibou Fall, « soit Pape Alé a fait son métier, on va le relâcher, soit il est sorti du cadre de son métier, et c’est à la justice de régler ça ».
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