Si les 500.000 emplois promis par Macky étaient avérés, les sénégalais ne seraient pas vendus en Lybie (Par Aliou Top)

Si les 500.000 emplois promis par Macky étaient avérés, les sénégalais ne seraient pas vendus en Lybie (Par Aliou Top)

Le monde a éternué sur ce qui est en train de se passer en Lybie. C’est à dire la traite d’êtres humains, la vente d’africains comme le faisait les colonisateurs du temps de la traite négrière. Et cerise sur le gâteau, à l’ère de la mondialisation, de la liberté et de l’émergence des nations du monde. Faut-il interpeller la Communauté Internationale ou alors les Africains ou diable je ne sais plus qui ! L’histoire de la barbarie qu’a connue l’univers est-elle en train de revenir ! Sunugal24 travaille depuis quelques temps sur un film portant sur l’émigration clandestine et ses effets collatéraux. Aujourd’hui ce qui se passe en Lybie  semble le prolongement de notre flair qui consiste à rebondir sur ce phénomène migratoire devenu beaucoup plus dangereux. Nous allons traverser le désert du Sahara et aller voir de l’autre coté, l’enfer que nos frères et sœurs vivent sans défense. Si les Africains faisaient ce qu’ils avaient à faire, je jure que cette calamité ne tomberait  jamais sur la tête de nos jeunesses désespérées. Le Président Macky avait promis 500.000 emplois pour empêcher aux jeunes sénégalais de se suicider au-delà de la fibre océanique. Eh bien, la Lybie à déterré la traite des êtres en chair et en os pour apporter une réponse à tout cela. C’est triste et même insoutenable. Le Président Jammeh avait bien dit que ce sont les africains qui sont contre les africains. Mais aujourd’hui, l’histoire est en train de lui donner raison. Sur France 24, j’ai suivi une émission bouleversante sur l’impérialisme numérique dont les africains seraient encore victimes. Quel gâchis du moment que nous sommes cernés de partout. J’estime humblement que l’esclavage doit une seconde fois être aboli en Lybie, en Mauritanie, au Tchad et dans biens d’autres coins du monde. Le mot Responsabilité  revêt une charge explosive pour les africains et ses décideurs qui ne savent plus ce que ce mot signifie dans ce monde de globalisation effréné. Si au 21ème siècle on en arrive à commercialiser des êtres humains, il y a bien lieu de s’attendre à d’autres calamités qui vont encore tomber sur la tête des africains sans défense, ni perspectives. Et dans une réflexion quand on a plus de mot pour continuer, alors on arrête. Et ce que je vais faire Ici sans dire désastre !

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