Le service de communication du candidat déclaré à la présidentielle de 2019, Samuel Sarr, vient de lâcher une bombe. Il révèle que Karim Wade a été la cible d’une attaque qui avait pour but de le liquider sur ordre de certains membres du PDS.
Nous sommes le 26 juin 2011, trois jours après les événements du 23 juin. Les comploteurs de cette mission attendaient le retour de l’ancien ministre de l’Énergie d’une visite des centrales de la Senelec pour l’assassiner.
Il fallut que le cortège soit averti par un haut responsable du Parti Socialiste pour que « ce complot soit éventré », renseigne le service com’ de Samuel Sarr. Le président de Libéralisme social Sénégal (Lss) et Cie indiquent que « peu de nos compatriotes étaient au courant », que « les Services de renseignement avaient pourtant alerté ».
Pis, ajoute-t-il, « les auteurs de cette tentative punissable sont ceux qui voulaient que Karim quitte le gouvernement pour mieux isoler son père et le neutraliser. Qui avait demandé à Me Wade de limoger Karim Wade ? Pourquoi Karim le dérangeait autant ? Tout était ficelé pour que Seydou Diouf, l’actuel président de la commission des Lois de l’Assemblée nationale remplace Karim Wade au ministère de l’Energie. Le décret était presque pris. »