Les nuit sont longues, depuis mardi pour certains et jeudi pour d’autres… Mais celle du samedi à dimanche a été mouvementée au hangar de l’aéroport international Léopold Sédar Senghor.
De guerre lasse, les 200 pèlerins restants, à cause d’un problème de visa, ont durci leur ligne de conduite. Très remontés contre les errements de la commission, les candidats au voyage se sont opposés à l’embarquement des derniers membres de la commission pour la Mecque.
Toutefois, la colère de ces pèlerins est tempérée par le fait que le khalife général des mourides, saisi de la question, a donné des consignes pour que leur restauration soit assurée par son petit-fils.