L’infidélité est un sujet sensible et un phénomène qui existe depuis des siècles. Nous savons tous que c’est mauvais de tromper un être cher, et pourtant nous découvrons que certains couples continuent de le faire et en cachette. Comme il n’est pas évident de savoir si votre partenaire vous trompe, voici ce qu’en pense la science.
Cette dernière a en fait déterminé plusieurs types de personnes qui sont les plus infidèles. Explications.
L’infidélité en France :
Selon des statistiques en France, près de 1/3 des femmes trompent leur conjoint au moins une fois dans leur vie. Le chiffre est en augmentation, mais reste proportionnellement inférieur à la tendance d’hommes ayant déjà été infidèles, qui atteint presque 50 % tout de même.
L’infidélité selon la science :
La science semble maintenant connaître les personnes qui trichent le plus et qui sont les plus susceptibles d’être infidèles.
La taille, l’âge ou le prénom, peuvent –ils être des points déterminants qui permettent de montrer à quel point votre partenaire est susceptible de vous tromper ?
La seule façon de le savoir avec certitude ce n’est pas de supposer en fonction du temps qu’il ou elle passe sur Twitter, mais c’est de l’attraper en flagrant délit. Voici des facteurs qui peuvent vous aider à comprendre si votre partenaire peut vous tromper ou pas.
Les facteurs qui poussent à l’infidélité :
Une étude scientifique a été réalisée sur le comportement en couple des animaux et elle a prouvé que seulement 3% des femelles sont monogames ce qui signifie qu’elles restent avec un seul partenaire toute leur vie. Cette même étude affirme que les humains entrent dans cette catégorie et que la polygamie est devenue assez commune. Les raisons ? Les voici :
1- La dopamine
joue un rôle clé dans l’infidélité chez les hommes et les femmes on l’appelle aussi « hormone du bonheur » qui aide à retrouver la motivation et elle procure une sensation de plaisir quand l’objectif est atteint. Celle-ci a une influence sur la fidélité.
L’excitation libère l’hormone de la dopamine dans certaines parties du cerveau. Quand celle-ci devient faible et donc moins intense, l’homme prend moins de plaisir et cherche alors à changer plus souvent de partenaire au lit.
2- La présence du gène récepteur de la dopamine :
Une étude montre que 50 % des personnes porteuses du gène appelé « allèle long » sont infidèles, comparé à 22 % qui ont l’allèle court et sont donc plus fidèles.
3- L’hormone vasopressine
est étroitement liée à l’ocytocine, appelée « hormone du câlin », puisqu’un simple câlin peut augmenter le taux d’ocytocine dans l’organisme. Elle peut affecter la confiance l’empathie et la sociabilité. Une baisse de vasopressine chez les monogames peut les rendre polygames.
Une étude a montré aussi que l’habitude de vivre en couple avec le même partenaire durant toute la vie, était déterminée par le taux d’ocytocine et de vasopressine.
4- Les personnes atteintes d’autisme ont un niveau de vasopressine inférieur, ce qui signifie qu’elles sont moins fidèles et ont des difficultés à communiquer avec les autres et à s’adapter à eux.
5– L’argent peut être aussi un facteur déterminant : plus que les femmes, les hommes qui gagnent très bien leur vie sont susceptibles de tromper. Ce n’est que lorsque les deux partenaires touchent le même niveau de salaire que le risque d’infidélité diminue de manière significative.
6- L’âge :
Les hommes les plus âgés et les plus aisés se distinguent par une plus grande expérimentation des comportements extra-conjugaux.
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