Parfois le malheur est bon car il permet de temps à autres d’installer dans l’esprit de l’humaine condition une conscience collective qui nous projettera résolument dans un avenir impeccable. En effet, après le génocide Rwandé de 1994 faisant 800 000 morts, aujourd’hui avec Paul Kagamé, un président courageux, engagé et déterminé à donner à son pays un autre visage, une forme et une physiologie parfaitement structurée qui plongera son Rwanda natal sur les vrais rampes de l’émergence.Regardez: