Je reviens d’un exil et j’en rends grâce à Dieu. Je suis resté deux ans sans lutter, de mon propre gré, et je crois avoir bien fait. Car, ce recul m’a permis de bien travailler pour espérer revenir en force. Je le dois à mon écurie, ma famille, les amis et tout le monde. Je suis de retour et c’est grâce à tout le travail que j’ai engrangé durant mon exil.
Echos