En portant Ndela, cet enfant que j’ai rencontré lors de ma campagne à Oussouye, je me suis alors rappelé le devoir de patriarche d’un Président de la République. Et, l’impact que cela a dans la destinée d’une Nation et sur ses enfants ; ainsi que sur leurs futurs.
On a pas le droit de trahir, ces espoirs de toute une génération. C’est pourquoi, je m’engage la main droite levée sur l’honneur de servir la nation Sénégalaise une fois élu Président et de veiller elle avec amour,respect, paix et compassion ; a ce qu’aucune larme de mon peuple ne puisse s’écouler sans que je ne me batte ou même donner ma vie, pour la sécher.
Elle est dans une région perturbée par des querelles en Casamance, pourtant elle incarne l’avenir. Ndela et ses amis les enfants, méritent dès lendemains meilleurs. Tous pour la paix. Il en va de notre responsabilité collective.