« Suite à une information parue dans un journal, le Centre National de Transfusion Sanguine précise qu’il n’a jamais livré de poche de sang en Gambie », note Ngoné Ngom, la chargée de la communication du ministère de la Santé dans une publication sur sa page Facebook.
La vérité est que, précise-t-elle, «la Gambie a demandé un appui en intrants (poches vides) à la Pharmacie Nationale d’approvisionnement pour résorber une rupture à leur niveau». «Ces procédures d’approvisionnement en intrants sont régulières et se déroulent entre centrales d’achats. C’est exactement ce qui s’est passé», explique-t-elle.
Dans son édition d’aujourd’hui, le journal «Les Echos»a cité Momodou Lamin Jammeh, le porte-parole de l’hôpital universitaire Edward Francis de Banjul, la capitale gambienne, qui informait que son pays avait acheté des poches de sang au Sénégal.