Zimbabwe : Robert Mugabé : « J’ai Été Forcé D’Épouser Grâce » Le Grand Déballage !!!

Depuis sa chute, il ne lésine pas sur les révélations.
De confessions en confessions souvent choquantes, mais on n’y peut rien, c’est l’heure des vérités et du grand déballage. Robert Mugabé n’étant plus au pouvoir, ne cesse de faire parler de lui. Il a révélé à des proches qu’il a été forcé à épouser celle qui partage sa vie aujourd’hui, pour faire plaisir à sa mère.
Grâce est reconnue pour être une femme forte, de ce fait, le président Zimbabwéen a affirmé dans un enregistrement audio, qu’il ne pouvait pas contester ses décisions pour la stabilité de leur foyer.

Elle est à la base de la séparation de l’ex président et de ses alliés de longue date, tels que Joice Mujuru et Didymus Mutasa. En effet, Grâce avait organisé des rassemblements à travers le pays pour exiger leur expulsion du parti et du gouvernement.

Selon l’enregistrement toujours, Mugabé confie qu’il a été « forcé » à l’épouser car sa mère voulait à tout prix tenir son petit-fils dans ses bras avent de mourir.

« J’Y AI PENSÉ ET J’AI CONCLU QU’IL ÉTAIT BON POUR MA MÈRE DE VOIR MON ENFANT AVANT QU’ELLE NE MEURE… ELLE A VU OMAR (BONA) ET JE PENSE OÙ ELLE EST, ELLE EST HEUREUSE.

C’EST LA RAISON POUR LAQUELLE J’AI ÉPOUSÉ GRACE« , A-T-IL AFFIRMÉ.

« Grâce était une femme déterminée, ambitieuse, très ambitieuse d’ailleurs et travailleuse. Mugabé l’a donc autorisé à aller à l’école puisqu’il voulait qu’elle l’aide à faire des affaires.

Il a ajouté que Grace avait pour habitude d’embaucher et de congédier des cuisiniers, elle n’avait pas le temps pour lui faire à manger puisqu’elle était toujours occupée à son orphelinat de Mazowe et était à peine à la maison pour cuisiner pour lui.

Aujourd’hui, il a démissionné de ses fonctions. Et le plus triste dans toute l’histoire, c’est que notre chère « Gucci Grâce » a demandé le divorce, car selon une source proche de la famille, « elle a été très bouleversée après que son mari ait abandonné le pouvoir à son vice-président évincé ». Elle a « toujours rêvé d’être au sommet du pouvoir » et ne supporterait pas davantage « l’humiliation » du départ de son mari à la tête du Zimbabwe. »

AFB

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