Karim Wade, une vraie tapette qui veut diriger le Sénégal, a peur de se sacrifier pour le peuple

Karim Wade était parti du Sénégal le 24 juin 2016, après une grâce présidentielle organisée nuitamment. C’était pour atterrir à Doha, capitale du Qatar, à bord d’un jet-privé de son ami d’Emir. Depuis il ne se signale à ses compatriotes que par WhatsApp et autres messages à travers la toile. Du n’importe quoi ! Pourtant il est le candidat du parti de son père, malgré sa condamnation à 6 ans ferme. A un an de la Présidentielle, ses partisans qui ont annoncé maintes fois son retour, en sont condamnés à toujours avertir : « Aucune manœuvre politique ne sera tolérée. Karim wade reste le choix du Pds et de la majorité des sénégalais pour bouter ce régime mafieux, dangereux pour le Sénégal, hors des sphères du pouvoir afin de préserver notre pays des dérives connues ailleurs ». Mais pour que ce soit possible, il faut que l’ancien super ministre d’Etat « du Ciel et de la Terre » sous le magistère de son père prenne son courage à deux mains ; ceci en revenant au Sénégal, pour assumer la confiance placée en lui par les militants de son père. Si Karim veut reprendre le pouvoir des mains du tombeur de son père, il doit faire du forcing et revenir, quitte à être embastillé. Ce qui desservirait le candidat sortant au profit du candidat le plus pertinent qui sortira des rangs de l’opposition ; quitte à demander à ses partisans de soutenir celui-ci. Se sacrifier en somme, si Macky ose l’arrêter à nouveau. Le cas échéant le tombeur de Macky, qui qu’il soit, ne pourra que le tirer de prison et lui donner la possibilité de devenir le 6ème Président du Sénégal. Revenir au Sénégal à ses risques et périls : c’est tout ce qui pourra donner un avenir politique à Karim, mais pas ses communications téléphoniques ou à travers la Toile, encore moins les menaces de ses troupes mexicaines. Karim doit être un fils du courageux et teigneux Wade ou demeurer une tapette loin de son pays. C’est ce que les Sénégalais attendent de lui, mais pas des tapages médiatiques, loin du champ de combat.

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici