3 rites s3xuels étranges pratiqués dans certaines parties du continent africain (photos)

L’Afrique est sans doute un continent riche en culture avec des traditions les plus étranges. Dans certaines parties du continent, les populations lavent les cadavres et utilise cette eau pour cuisiner des repas, ou bien certains se battent sans raison pour impressionner une femme etc.

La question qui taraude les esprits est de savoir si ces coutumes sont bénéfiques pour ceux qui les pratiquent, une question qui est difficile à répondre. Afrikmag vous présente trois rites s3xuels étranges toujours pratiqués dans certains pays africains.

Le test de virginité

Connu sous le nom d’Umhlanga, le test de virginité est une tradition populaire en Afrique du Sud, en particulier chez les Zoulous. En dépit de nombreuses tentatives du gouvernement sud-africain d’abolir cette pratique, Umhlanga reste une cérémonie populaire de danse annuelle des Zoulous.

3 rites s3xuels étranges pratiqués dans certaines parties du continent africain (photos)

Pour cette cérémonie, toute les jeunes filles doivent passer le test de virginité et sauf les vierges sont qualifiées à y participer. Les tests sont effectués dans une pièce isolée. La fille s’allonge sur le dos avec les jambes ouvertes et le testeur ouvre le v*gin pour voir si son hymen est intact. Si tout est en ordre, la fille reçoit un certificat de virginité.

Les pratiquants de ce rituel affirment qu’il contribue à prévenir la transmission du VIH / sida car les jeunes filles doivent s’abstenir de relations s3xuelles jusqu’à ce qu’elles atteignent l’âge adulte.

La purification sexuelle

Appelé localement « Kusasa Fumbi », la purification s3xuelle est une tradition africaine célèbre pratiquée dans plusieurs pays africains, comme la Zambie, le Kenya, l’Ouganda, la Tanzanie etc. Lors  du rituel, une femme doit avoir des rapports s3xuelles avec un professionnel de sexe surnommé « hyène ».

3 rites s3xuels étranges pratiqués dans certaines parties du continent africain (photos)

 

Ce rituel est pratiqué lorsqu’une fille a ses premières règles, lorsqu’une femme perd son mari ou après un avortement. Pour les veuves, le rituel est parfois effectué par le futur mari choisi ou par le beau-frère de la veuve.  Aucune forme de protection n’est utilisé lors du rituel, une exigence qui joue un rôle important dans la propagation du VIH, des autres IST et des grossesses non désirées.

La Geerewool

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